Arrêtez d’apprendre (ou la grande erreur du développement personnel)

flowingLa queen du développement personnel, la nana qui passe des heures en webinaires, qui a suivi des gurus à travers le monde, qui passe des heures à transmettre de l’info, vient nous dire d’arrêter d’apprendre! Ça y est, c’est définitif, vous vous dites: Héloïse a grillé son cerveau à dose de méditation, de sons isochrones et binauraux, de red pils et s’est perdue down the rabbit hole! Eh bien oui, je viens vous dire de suite : arrêtez d’apprendre, arrêtez d’apprendre des leçons! C’est The Big Mistake du monde du développement personnel! Cette idée qu’il faut apprendre des leçons et grandir et devenir spirituel et blablabla… Je vais vous dire ce qu’il en est, moi (du haut de mon trône)…

Les circonstances de l’homme ne font que le révéler à lui-même

Merci James Allen. Rien ne « vous arrive ». Vous créez votre réalité. Vous créez vos circonstances. En permanence. Vous ne perdez pas un ami, de l’argent, la santé… pour « apprendre une leçon ». Bien sûr que vous pouvez en retirer une leçon; c’est même conseillé! La leçon que quelque part, vous « vouliez » que cela arrive et vous l’avez manifesté. À dose de peurs, de culpabilité, de haine, de regrets, de confusions, d’incohérence entre ce que vous dites vouloir être et ce que vous êtes réellement. La leçon qu’il serait temps d’être et d’agir différemment.
Et c’est OKAY. Arrêtez de ruminer. Arrêtez de regretter. Arrêtez d’y penser. ACCEPTEZ CE QUI EST PASSÉ et CHOISISSEZ CE QUE VOUS VOULEZ QU’IL ADVIENNE !

Pourquoi arrêter de vouloir apprendre des leçons

Lorsque vous croyez que, dans la vie, il faut apprendre des leçons, vous créez des obstacles pour avoir l’occasion d’apprendre. Vous voyez en quoi cette croyance est limitative? C’est comme le trip du héros qu’on se fait tous à un moment ou l’autre; conditionnés à croire que « La vie est faite d’obstacles » et que « Rien n’est facile, mais c’est ce qui nous rend fort ».

 

la vie coule de sourceChoisissez de voir votre existence pour ce qu’elle est: votre conscience incarnée pour expérimenter, voir, sentir, entendre, toucher, goûter… Qui peut se vivre dans la joie sereine et dans la foi que tout ira bien parce que tout est bien… Vous n’avez pas besoin de grandir non plus, ni de devenir spirituel, puisque vous l’êtes déjà. C’est votre nature. Et votre sagesse existe au sein de votre intuition.
La seule chose in fine à apprendre, c’est de se retrouver. Et, oui, dans notre dimension, cela passe par des apprentissages, des expériences et des leçons. Mais cela pourrait être instantané si on lâchait prise de tout, si l’on ouvrait les yeux pour la première fois. Welcome to the Matrix ! 😉 Je me souviens de mes débuts où je cherchais, où j’essayais d’atteindre cet état « spirituel ». Et puis j’y étais sans avoir rien fait, aux moments les plus simples et inattendu. Parfois, il suffit d’arrêter de chercher pour trouver. Simplement prêt à accueillir le moment.

Tout coule de Source

Nul besoin de vivre dans un monde de polarité. Mais si vous vous attendez à ce qu’un malheur suive un bonheur, à ce que « la vie soit faite de hauts et de bas » ou que « l’on ne peut pas tout avoir », c’est exactement la réalité que vous aurez.
Je suis heureuse d’avoir entendu (enfin!) plusieurs professionnels cette année parler de la non-polarité et de la possibilité de vivre dans un monde où elle cesse d’exister. Je ne me suis jamais sentie en accord avec cette dimension, cette croyance de la polarité appliquée à nos vies. Je ne crois pas qu’il faut toucher le fond pour atteindre le sommet ni connaitre la nuit noire pour retrouver la lumière. J’ai vécu ma nuit noire il y a bien des années et j’en ai retiré beaucoup. Mais était-ce un absolu, une nécessité…
J’ai découvert la technique du FlowDreaming récemment (outil de manifestation combinant daydreaming + énergie flow + émotions). Et je me disais que c’est exactement comme ça que nous pouvons/devrions vivre (et pas que dans nos rêveries diurnes!) Quelle liberté d‘abandonner ses croyances, son attachement à nos drames et histoires, d’arrêter de poser des jugements sur soi et les autres, et de s’abandonner à la vie, de retrouver le « Flow«  où tout se met en place comme un puzzle, où tout coule de source, de Source…

 

Rendez-vous service. Arrêtez de créer des occasions d’apprendre des leçons. Arrêtez de créer des obstacles. Laissez la vie couler de Source en vous ♥

 

 

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(31 commentaires)

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  1. C’est vrai qu’on nous inculque beaucoup cette mentalité « Après la pluie, le beau temps » ou le contraire pour se culpabiliser finalement. J’ai eu tendance à me sentir coupable quand tout allait bien, attendant au tournant une mauvaise nouvelle qui finissait pas arriver. Mais maintenant, je ne veux plus penser comme ça, pourquoi les obstacles seraient automatiquement sur notre route ? Bises et merci ! 🙂

    1. J’ai pensé à toi en écrivant ce billet 😉 En effet, nous pouvons faire le choix d’une vie où tout coule de Source, où tout trouve sa place, sans jugements (sans être ni bien ni mal), où la paix intérieure n’est pas qu’un mythe…
      Bises, belle fin de journée

        • Polina on 6 novembre 2014 at 09:20

        C’est drôle mais…depuis que je me suis forcée à « lâcher le contrôle », tout semble couler bien plus facilement ! J’espère cependant éviter de glisser, haha !

        1. SUPER! C’est tout à fait comme ça que cela fonctionne!
          Quand tu arrêtes de contrôler, tu acceptes ce qui est. Plus rien ne fait mal à ce moment-là. Et ce faisant tu libères la résistance (l’attachement) et tu permets au changement d’apparaitre = tout coule 🙂
          Sache que tu es TOUJOURS « en sécurité » et toujours aimée!!!

    • Majiji on 28 octobre 2014 at 19:57

    Hello!
    Je pense aussi qu’on nous a toujours habitués à penser ainsi, ça fait partie de notre éducation, notre mentalité, notre culture! Et d’un côté ce n’est pas si mauvais car ça permet à ceux qui traversent de longs et mauvais moments de continuer à espérer, ça permet une certaine résilience face aux aléas de la vie. Et je pense aussi que ça sert à donner un sens et à justifier nos épreuves, ou encore plus: donner un sens à nos vies!
    Et oui, comme c’est effrayant de vivre en se disant que notre vie n’a pas un sens un but, une destinée définies hein! 😉 Combien de fois m’a-ton dit: « trouve un sens à ta vie » et tu seras plus heureuse…
    Merci pour ton article qui m’a donné à réfléchir (j’en ai profité pour relire celui sur « le Flow »)
    bises

    1. Et si la seule raison d’être était de vivre une expérience physique avec son lot de sentiments et d’émotions, sans toutefois s’y attacher, sans toutefois s’y perdre et se noyer… Comme disent certains channels : votre seule mission sur Terre est de vivre, d’être heureux ♥

      Avec plaisir bella!

    • vanessa on 28 octobre 2014 at 20:50

    Ravie de te lire encore une fois:-) tu as raison, plaisir de se sentir libre, lorsque l’on se détache de tout jugement, de toute croyance. Maintenant je choisis beaucoup mes ouvrages de développement personnel… Don Miguel Ruiz, Krisnamurti….. je deviens sélectionneuse:-))) Grosses bises à toi Héloïse et à bientôt

    1. Merci Vanessa 🙂 Heureuse d’échanger avec toi!
      Choisis, oui. Je n’ai pas encore lu Don Miguel Ruiz mais à chaque fois que l’on m’en parle et que je lis les résumés sur amazon, je me retrouve.
      À ta vie libre ♥

    • Helene on 28 octobre 2014 at 20:55

    Hello Éloïse,

    A force d’apprendre, nous oublions de profiter des nouveaux savoirs acquis.
    Je fuis maintenant les wébinaires (sauf certains, que je choisis en fonction de mes besoins et de mes envies).
    Suis devenue plus cool, ma besace est pleine et me suffit. Je puise selon mes besoins…
    La leçon que j’en apprend (bah, oui, je continue malgré moi d’apprendre…c’est comme une addiction… désolée !) est que j’ai tout en moi. Pourquoi chercher à l’extérieur ce que l’on a en soi ?
    Dans nos existences, arrive un moment ou nous sommes à un point de non retour ou vient le choix de poursuivre sa quête au risque de se perdre en route, ou, enfin vient le moment de laisser libre court à notre essence de vie, libérant nos forces prenant place dans la logique de l’univers.

    Amicalement et à bientôt,

    Hélène

    1. Coucou Hélène,

      Puiser selon ses besoins, c’est l’idéal. Tu fais aussi appel à ton intuition de cette façon et tu ne forces rien.
      Et tu as raison de chercher des réponses, car cela suppose un questionnement, une réflexion plus profonde… tant que tu réalises au final que tu as la réponse en toi (même si elle SEMBLE venir d’une source extérieure) 😉

      Je reste adepte des webinaires où l’on profite de l’énergie du groupe. Bon, ce sont toujours des conférences ou sessions organisées des USA. Plus à la pointe et avec la crème de la crème. En francophonie, je ne connais pas le niveau, la qualité. J’en ai organisé beaucoup il y a quelques années, mais toujours sur base de matériel anglophone. Je m’y remettrai l’année prochaine.

      Merci pour ton partage!

  2. Moi j’aurais pensé que tu aurais soulevé le soucis que toutes les personnes qui boit du développement personnel depuis des années : Le manque d’action
    Car à lire des livres, suivre des conférences, regarder des vidéos, on passe son temps à apprendre et à ne pas mettre en application ce qu’on lit, au final on oublie, ou on ne met jamais en pratique.
    Ca

    1. Je ne visais pas ici les « élèves » mais les « maitres », les gurus du développement personnel, dont le discours donne comme message : dans la vie, il faut apprendre des leçons (ce qui revient à créer des obstacles donc).
      C’est une erreur classique (à laquelle j’ai moi-même longtemps cru!)

      Côté élèves: c’est clair que le manque d’actions joue un rôle majeur. Comme on dit: « When you pray, move your feet ».

      Je reste toutefois en retrait des actions massives. J’observe que les actions guidées ont plus d’effet. Et celles-ci requièrent un travail interne (mental, émotionnel, spirituel) préalable. Selon moi, nous sommes avant d’agir 😉

      Merci pour ton input pro Jordane!

      Ps: merci pour l’accès à ton site de formation! Je le découvre avec intérêt dans les prochaines semaines.

  3. Moi j’aurais pensé que tu aurais soulevé le soucis que toutes les personnes qui boit du développement personnel depuis des années : Le manque d’action
    Car à lire des livres, suivre des conférences, regarder des vidéos, on passe son temps à apprendre et à ne pas mettre en application ce qu’on lit, au final on oublie, ou on ne met jamais en pratique.
    Car il est nécessaire de passer de la case « Savoir » à « être » en passant par la case « faire » !

  4. J’aime bien cette notion de simplement vivre sa vie! Et je l’applique au jour le jour… 😉
    Bien que je commence une formation IAO de 4 mois en janvier, en gros pour apprendre à faire un bon triage à l’entrée des services d’urgences. Tout un programme en soi! ^^

    1. On ne sait tout de même vivre qu’un jour (ou instant) à la fois : )

      Ah oui! Mais c’est un autre type d’apprentissage, un nécessaire et (qui sait) amusant!

    • Thalie on 29 octobre 2014 at 11:24

    Bonjour heloïse,
    Quel plaisir de te lire. Depuis quelques temps je me dis, je ressens que stop cela suffit d’apprendre !! d’aller travailler sur moi et pourtant pas si facile, je sens comme un besoin. Je n’arrive pas à me desencombrer ! J’aurais aimé que tu développe un peu la nouvelle technique que tu as apprise.
    Des bises

    1. Coucou Thalie,
      Un plaisir aussi de te lire : )
      J’aime ton ressenti « cela suffit d’apprendre !! d’aller travailler sur moi » CAR cela suppose que tu es prête à voir qu’en réalité, tu n’as PAS besoin d’apprendre ni de travailler sur toi. Tu es tout ce qui est, dans cette réalité et en dehors.
      Dans ton cas, je viserais à laisser aller l’idée que tu as besoin d’être mieux/d’être plus ET donc de voir que tu es et que tu as tout ce qu’il faut.
      Parfois le fait de faire le vide autour de soi physiquement (objets qui t’encombrent par ex) aide à activer ce processus de lâcher-prise au plan énergétique (émotionnel par ex)

      Le FlowDreaming est nouveau pour moi, bien qu’en pratique très semblable à ma façon de faire (visualisation créative au lever, comme la méditation que j’ai enregistrée pour le blog en octobre) La clé du FlowDreaming est d’intégrer un max d’émotions dans l’expérience: amplifier ce que tu ressens par rapport à ce que tu penses.

      Bises <3

  5. Merci Héloïse.
    Je suis assez d’accord avec toi. Je n’aime pas ce concept d’apprendre, car à un moment ou à un autre, on finit par oublier de vivre. Et pourtant c’est ça le plus important.
    Bien entendu il faut lire, écouter, se documenter. Mais point trop n’en faut ou nous passons à côté de notre vie. Et pire encore nous avons toujours l’impression que nous n’en savons pas assez, nous passons notre vie à passer à côté de notre vie. C’est dommage.

    1. Comme tu dis Marie: on oublie de vivre ! Et on oublie d’être! Or c’est toute la raison de notre « matérialisation terrestre ».

  6. Ah, ah,

    * marre d’apprendre, de s’infliger une corvée, de céder à un devoir de devenir grand et sage !

    * envie de découverte, de connaître ce qui se présente, de suivre mon chemin buissonnier librement selon l’humeur du jour, selon le vent qui se lève ou s’affale au gré du hasard (!!!)

    Oui, lâcher prise et se laisser emporter avec délices dans le courant de vie qui nous mène jusqu’au bout de nos émotions.
    C’est un beau rêve !
    Le type de rêve qui nous fait escalader les montagnes avec plaisir et sans effort.

    Hello Héloïse.

    1. J’adore ton « de céder à un devoir de devenir grand et sage » 🙂 Car comment devenir ce que nous sommes déjà…

      Et oui, une vision de la vie qui balaie les obstacles et nous invite à vivre dans l’abondance, porté par le courant…

      Merci Patrick! Bon début de sem’

    • Philippe on 29 octobre 2014 at 13:28

    Bonjour,

    Pour illustrer cette belle conversation je me permets de joindre deux extraits de deux maîtres Indiens interpellés sur les difficultés liées à la gymnastique mentale supposée pour parvenir à « la sagesse »…

    Le visiteur :
    Si je suis toujours ici et maintenant comment se fait-il que je ne le sente pas….

    Le guru :
    Le sentiment « je ne suis pas réalisé » est l’obstacle. Il faut l’éliminer pour que le vrai « je » ne soit plus caché.
    Le sentiment: « je n’ai pas réalisé » est l’obstacle à la réalisation.

    En fait la réalisation a déjà eu lieu (on ne fait pas advenir l’éternité qui a toujours lieu…) autrement la réalisation serait une chose nouvelle qui n’aurait pas existé jusqu’ici et devrait se produire plus tard…. et si la réalisation n’est pas éternelle, elle ne vaut pas la peine d’être obtenue.

    Par conséquent ce que nous cherchons, ce n’est pas ce qui doit encore se produire, mais ce qui est éternel, à présent inconnu en raison des obstacles.
    Ce qui est éternel ne nous parait pas comme tel à cause de l’ignorance, dépassez là et tout ira bien…
    Le corps ne dit pas « je suis » car c’est vous qui dîtes « je suis le corps »
    Trouvez ce « je »…. Dissipez l’ignorance pour libérer la félicité….

    Ramana Maharshi

    Le visiteur :
    Vous réduisez votre méditation à de la simple attention, comment se fait-il que d’autres maîtres enseignent des méditations complexes, difficiles et chronophages ?

    Le guru :
    Généralement les gurus enseignent les méditations qui leur ont permis d’atteindre leur but.
    Ce qui est parfaitement naturel puisqu’ils connaissent leurs propres sadhanas méditatives intimement.
    Quant à moi on m’a enseigné de porter attention au sentiment « je suis » et j’ai découvert qu’il était suprêmement efficace. Je peux donc en parler avec une entière confiance.

    Mais souvent les gens viennent avec un corps, un cerveau et un mental en si piteux état, si pervertis et si faible que l’état d’attention sans objet particulier les dépasse complètement….

    Dans ce cas des formes plus simples d’attention sont appropriées. La répétition d’un mot, la fixation du regard sur une image prépareront le corps et le mental à une recherche plus profonde et plus directe. En fin de compte, c’est l’application sérieuse qui est le facteur indispensable, crucial.

    La sadhana n’est que la coupe qui doit être remplie jusqu’au bord par l’application qui n’est que l’amour agissant. Car rien ne peut-être fait sans l’amour.

    Le visiteur :
    Nous n’aimons que nous-mêmes…
    Si cela était vrai, ce serait merveilleux ! Aimez-vous vous-même avec sagesse et vous attendrez le sommet de la perfection. Tout le monde aime son corps mais bien peu leur être réel…

    Nisagardatta Maharaj.

    Bien cordialement
    Bonne journée.

    1. Merci Philippe! Tes partages sont toujours justes et symboliques!

      « En fait la réalisation a déjà eu lieu (on ne fait pas advenir l’éternité qui a toujours lieu…) autrement la réalisation serait une chose nouvelle qui n’aurait pas existé jusqu’ici et devrait se produire plus tard » ♥

      Et comme certains disent: tout ce qui arrive et va arriver, est déjà arrivé.

      Et on ne « parvient » pas à quelque chose qui « est ».

  7. Tu as raison! La vie coule de source et laissons-la couler!
    De plus en plus, je cherche à vivre ma vie au jour le jour sans penser à mal.
    Très bel article, Héloïse!
    Carpe diem!
    Bises

    1. Et laissons-là couler… JOLI ♥

      Formidable! Alors, arrête de chercher. Vis. 😉

      bises, belle fin de soirée

  8. Belle idée! Let go! Laisser les choses se faire et vivre la vie comme elle vient!

    1. Live & let go ♥

    • Dorian on 30 novembre 2014 at 17:18

    Bonjour Eloïse,

    Pour moi apprendre signifie être ouvert d’esprit. Ou encore d’être prêt à apprendre à chaque instant.
    Car c’est avec cette ouverture d’esprit qu’on s’autorise aussi à voir les choses différemment et à avoir des prises de conscience qui nous conduisent toujours plus vers… VIVRE.

    N’es-tu pas d’accord ?
    Bien amicalement,
    Dorian

    1. Coucou Dorian,

      Tout à fait d’accord 🙂 Même si dans l’absolu nous n’avons rien à apprendre puisque nous sommes Tout. On se comprend…

      Le titre provocateur (Monsieur l’hypocrite hihi) amène ici à l’idée de voir la vie comme une façon d’apprendre… des leçons. Autrement nous manifestons des opportunités (= des obstacles, épreuves) d’en apprendre.

      Bonne fin de soirée

  9. Salut Héloïse,

    Tu as bien souligné la différence, belle et bien réelle, entre retirer des leçons et chercher à apprendre.

    Sébastien.

    1. Merci Sébastien 😉
      Tu en sais quelque chose en tant que coach! Bon week-end sportif!

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