Une grande famille, n’est-ce pas ce que nous sommes ? Ici ou ailleurs, les portes sont ouvertes à ceux qui ouvrent la leur, à ceux qui ouvrent leur cœur. Cette année, j’ai décidé de voyager et de saisir les opportunités comme elles viennent, et partout où je vais, je retrouve cette gentillesse, cette ouverture, ce sens de l’accueil. Je ne comprends pas le concept de l’étranger, des frontières, de la séparation, de l’insécurité, de « chez soi »… parce que je me sens chez moi, en moi, où que je sois.
Et je crois. Je crois en moi, en vous, en nous, en tout ce que nous sommes. Et ce que nous pouvons choisir d’être. Et je suis témoin de cette abondante générosité, de cet amour universel qui nous unit depuis le premier instant, et de ce qu’il crée lorsque nous lui permettons de s’exprimer. Sans retenue. Sans peur. Parce que nous savons – intrinsèquement nous savons – que nous sommes une grande famille.
Peut-être est-il temps de s’attendre au meilleur. De Soi, de l’autre, du monde qui est aussi le nôtre… à notre image.
Des bises de Seattle.
Promis, je vous écris à nouveau bientôt. Vous pouvez aussi m’ajouter sur Facebook où je publie quelques photos en cours de route.
Ps: j’aime ce passage de Ride de Lana Del Rey où elle parle de la gentillesse des inconnus
Every night I used to pray that I’d find my people, and finally I did on the open road.
We had nothing to lose, nothing to gain, nothing we desired anymore, except to make our lives into a work of art.
Live fast. Die young. Be wild. And have fun.
I believe in the country America used to be.
I believe in the person I want to become.
I believe in the freedom of the open road.
And my motto is the same as ever:
I believe in the kindness of strangers. And when I’m at war with myself I ride, I just ride.
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