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« Par notre manière de penser, de faire, nous construisons notre bonheur ou notre malheur »
Comme Verlaine le disait de manière si poétique, nous construisons notre réalité, nous percevons le monde selon nos sens, notre histoire, nos croyances… ainsi (bonne nouvelle !) nous pouvons être heureux, arrêter d’être frustré,…, en changeant notre vision du monde extérieur ! Pas toujours si facile de voir la vie en rose lorsque la vôtre est un dégradé de gris me direz-vous, peut-être mais une chose est sûre, c’est vous et vous seul qui détenez la clef du bonheur, êtes-vous prêt à ouvrir la porte, et à effectuer les changements nécessaires pour y accéder ?
Maintenant vous pensez peut-être aux fameuses « obligations » du genre « oui mais je dois travailler, j’ai une famille, un loyer à payer… » Blablabla… Il est assez inexact de parler en terme d’obligation quand rien ni personne ne nous y oblige. Il y a surtout des choix de vie, parfois contraints mais auxquels nous nous soumettons quand-même (je ne suis pas obligé de travailler, je peux faire le choix de m’exclure de la société de consommation et de vivre au jour le jour dans la rue ou de m’isoler sur une île déserte). L’excuse de l’homme est l’enfant de son imagination écrivait Napoléon Hill.
Face aux « obligations », deux solutions se présentent: soit je travaille sur mon comportement (au lieu de râler sur le repassage, je me dis qu’une fois le travail fini, je profiterai de mon temps libre) soit je change la situation…
Heloise
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(My best into English : )
« By the way we think, we act, we create our happiness or our unhappiness”
As Verlaine said in such a poetic form, we build our reality, we perceive the world according to our senses, our history, our beliefs … and therefore (good news!) we can be happy, stop being frustrated, …, by changing our vision of the outside world! It’s not always so easy to see life in pink if yours is a shade of gray you might say, perhaps, but one thing is certain: you and you alone hold the key to your happiness, are you ready to open the door and make the changes necessary to access it?
Now you may think of the well-known « obligations » such as « yes but I have to work, I have a family, rent to pay … » blahblahblah … It is quite wrong to speak in terms of obligation where nothing and nobody requires us to do so. There are life choices, sometimes a bit enforced, to which we submit anyway (I am not obliged to work; I can make the choice to exclude myself from consumerism and live daily in the Street or isolate myself on a desert island). “The excuse of a man is the child of his imagination « wrote Napoleon Hill.
Faced with the « obligations » we have two options: either we work on our own behavior (instead of moaning about ironing, I tell myself that once the work is finished, I will enjoy my free time) or we change the situation …
Heloise
(4 commentaires)
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Merci Héloïse, nous avons grandement besoin d’entendre certaines considérations qui nous font comprendre que nous sommes les bâtisseurs responsables de notre quotidien…quel qu’il soit et tu as l’art de nous l’exposer. Merci.
Eletta
Merci Héloïse, nous avons grandement besoin d’entendre certaines considérations qui nous font comprendre que nous sommes les bâtisseurs responsables de notre quotidien…quel qu’il soit et tu as l’art de nous l’exposer. Merci.
Eletta
Merci!
Merci!