Que pensez-vous de cette scène, extraite du film « Up in the air » ? J’adore lorsque George Clooney demande « Combien ils vous ont payé pour abandonner vos rêves? » 27.000$ par an répond l’employé. Et Georges d’ajouter « A quel moment aviez-vous l’intention d’arrêter et de revenir à ce qui vous rendait heureux? » Une vidéo en phase avec le message de l’autre jour « être heureux » ; )
Parce que le jour où vous avez renoncé à vos rêves…
Vous avez sacrifié ce qui vous faisait vraiment vibrer! C’est une part de Vous, que vous avez choisi d’ignorer. Et en échange vous avez accepté et pris un tas de choses : la sécurité financière d’un contrat; le confort d’une voiture; le prêt généreux d’une maison… ET C’EST OKAY. On l’a tous fait! Tout ce que je vous invite à faire, si vous vous sentez concerné, c’est de regarder exactement ce que vous avez eu, pris, reçu, en échange de vos rêves. Et si ça le vaut, tant mieux!
Mais s’il y a comme un gout de trop peu, une amertume… Si le confort devient inconfortable (comme certains de mes amis qui en ont marre de passer la moitié de leur vie dans les avions en échange d’un revenu, d’hôtels gratuits… au prix de ne pas voir sa famille… ou d’autres qui se contentent d’une relation moyenne et d’un job moyen parce que c’est ‘facile’… ) Alors, peut-être est-il temps de ramener à la surface ce qui vous fait vibrer. (L’audio gratuit à l’inscription au blog est super à ce sujet 😉 )
ET LE TRUC GÉNIAL… c’est que vous ne devez pas renoncer à ce que vous avez pour vivre vos rêves! Vous pouvez tout avoir si vous le souhaitez! Certes, ça va demander un ajustement, une réorganisation de vos priorités, de votre temps, mais ça en vaut la peine vous ne trouvez-pas?
Voici la scène en question
Ryan Bingham: Your resume says you minored in French Culinary Arts. Most students work the frier at KFC. You busted tables at Il Picatorre to support yourself. Then you got out of college and started working here. How much did they pay you to give up on your dreams?
Bob: Twenty seven thousand a year.
Ryan Bingham: At what point were you going to stop and go back to what made you happy?
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En même temps, il faut avoir les moyens pour faire ce qui nous rend heureux… J’ai l’avantage d’avoir un métier qui me laisse gérer mon temps un peu comme je l’entends et j’en profite. Et j’aime beaucoup ce que je fais mais je sais que j’ai de la chance ! Bises
Et en même temps, tu l’as choisi ton métier (et avec cette flexibilité) ; ) Donc tu t’es donné les moyens on pourrait dire. Mais je concède que certains projets demandent plus de moyens que d’autres. Je constate en tout cas que peu importe la situation, celui qui veut y arrive. Et je peux prendre mon exemple, même si je dois encore me donner de gros moyens haha ♥ Bisous belle semaine Martienne!
Je crois qu’il ne faut jamais sacrifier ses rêves. Il faut composer avec notre vie de tous les jours, trouver l’équilibre juste. Mon rêve a toujours été d’écrire et aujourd’hui je peux dire que mon rêve s’est réalisé, même si je ne fais pas ça à temps plein. Je compose.
Merci pour ce rappel essentiel Héloïse.
PS – Tu me donnes envie de voir le film pour le coup.
Doux et lumineux weekend à toi
Exactement Marie! (et j’aime le jeu de mots innocent: je compose / j’écris) Peu importe si au départ ce ne sont que quelques minutes, quelques heures… c’est ce qui nous passionne et pas à pas, le chemin se révèle.
PS – moi aussi! (je ne l’ai pas vu!) 😀 Bises et que tes mots touchent toujours plus de monde! ♥
Cet article est génial! J’adore ce que tu écris car c’est si vrai!
Il faut essayer de vivre ses rêves dans notre vie courte et je reconnais que ce n’est pas facile.
Tout au moins être heureux!
Merci Héloïse pour toutes ces belles phrases qui ensoleillent la vie!
Je t’ai taguée dans l’article précédent celui de « The fall ».
Bisous
Merci Astrée!
Ce sont nos peurs qui nous limitent et une fois comprises et libérées, tout s’éclaire!
PS: En effet! j’ai bookmarké le billet dans mon dossier « 2Read » et j’ai oublié j’avoue. Je suis de retour en Belgique, que pour peu de temps mais je regarde à ça. MERCI ♥ bisous
Je l’ai bien aimé ce film… même si le premier à avoir renoncé à se battre pour ses rêves, c’est le personnage interprété par GC… De mon côté, j’ai tendance à penser que je ne peux pas tout avoir, ou plus exactement, à réaliser que je ne veux pas tout… Oulalala….non surtout pas 🙂 Du coup, je suis libre de poursuivre mes rêves. Et si je ne les rattrape pas, tant pis ! 🙂 Doux week-end à toi.
Ah j’ai hâte de le voir avec ton commentaire! Merci Sophia!
Nuance d’importance! Croire que l’on ne peut pas tout avoir est une croyance très présente. Mais s’il s’agit plutôt pour toi de savoir ce que tu veux et ne veux pas, c’est intéressant 🙂 ça aide à faire des choix, à dire oui, à dire non, à se positionner et en effet ça ouvre les portes d’une vie libre!
PS: le paradoxe avec les rêves (et tout ce que l’on souhaite manifester) c’est de les « vivre » avant même de les « vivre » 😉 (et non de chercher à les réaliser/courir après)
Mais tu vis ton rêve de danseuses et tu en inspires beaucoup, dont moi, ce qui est un cadeau en soi! Bon début de semaine Sophia ♥ Bises
Merci Héloïse pour ces précisions qui m’aident à y voir plus clair. Tu as raison : vivre ses rêves en rêve est vraiment fondamental pour ne pas les poursuivre jusqu’à l’essoufflement, pour ne pas se crisper sur ce qui ne vient pas. Je n’avais jamais pris conscience de cet aspect là. Mille bisous à toi.
Pour le moment, je nage en plein rêve. Mon petit Maxime dans les bras après un départ un peu difficile pour lui, le voilà à la maison 😀 Maintenant, je dorlote ce petit rêve…
Félicitations et surtout bienvenue à MAXIME ♥ J’ai aperçu la photo, vous semblez tous deux vous porter à merveille! Je me disais aussi « mais il n’est pas encore là ce petit? » 😉 Oui dorlote-le et je vous souhaite tout le bonheur du monde!
PS: Oh comique! Je voulais en parler aussi de Cook & Book. TRop cool comme endroit!
Bouffons la vie !